Le manuscrit de Galba
présenté par
Marc Saint Hilaire
Éditions du Nouveau Monde
Copyright 1996, 2013, Éditions du Nouveau Monde. Tous droits strictement réservés pour tous les pays.
La copie, la transmission informatique, la reproduction, l'enregistrement, l'adaptation, le plagiat ou l'utilisation publique de ces textes, de l'illustration de couverture et du logo des Éditions, en partie ou en tout, par quelque procédé que ce soit, visuel, sonore ou informatique, sont illégales, conformément aux lois nationales et internationales sur les droits d'édition et les droits d'auteur. Elles ne sont possibles qu'avec l'autorisation écrite de l'Éditeur.
Le livre papier (72 pages) est disponible en librairies, sur Amazon et sur plusieurs librairies internet.
Distribution exclusive du livre en librairies pour le Canada : "ADL".
Distribution pour la France : Contacter les Publications du Nouveau Monde - B.P. 9 - 15240 Saignes - France
ISBN : 978-2-920684-15-7 (Éditions du Nouveau Monde, Québec)
ISBN : 978-2-9513489-1-6 (Publications du Nouveau Monde, France)
eISBN : 978-2-920684-19-5
_____________________
La Charte d'origine
de la Présence du Suprême I AM Je Suis :
PRÉSENTATION DE L'ÉDITEUR
Voici la première édition électronique “Manuscrit de Galba”. L’Esprit de Lumière et de Vérité est accessible à tout homme et toute femme qui entre dans la Vie Divine. C’est pourquoi, tous ont, s’ils le désirent, la capacité intérieure de reconnaître l’authenticité du témoignage remarquable du jeune Galba, retranscrit “pour ses descendants” dans ses années avancées.
Ce document dormait dans une bibliothèque depuis plusieurs années. Le manuscrit original est en latin. Il a été traduit en français à l’université de Montpellier, en France. Le découvreur du parchemin l’a traduit du français en anglais. C’est une retraduction de l’anglais vers le français qui est donnée ici, car le texte français n’a pas été retracé. Je reconfirme ici, haut et fort, que cette histoire n'est pas une invention de ma part, ou un tour de passe-passe d'éditeur : j'ai effectivement et réellement découvert cette copie dactylographiée du manuscrit dans une bibliothèque tel que je le mentionne ici.
Le document de la bibliothèque est un texte dactylographié. Les caractères du texte indiquent que c’est une vieille machine à écrire qui a été utilisée pour retranscrire le texte en anglais, probablement dans les années cinquante ou soixante, peut-être avant. Le découvreur ne donne aucune date, et il garde un anonymat total. En découvrant le contenu du manuscrit, on ne s’étonnera pas de cette attitude. Il est possible que le manuscrit ait été saisi ou détruit par ceux qui veulent continuer à voiler la véritable mission du bien-aimé Jésus sur Terre. Quelques notes (en fin de chapitres) et quelques insertions, clairement identifiées par des crochets, permettent une compréhension plus claire du document. Le texte, pour être vraiment apprécié, devra être lu et relu souvent dans la quiétude du Cœur, et être situé dans son contexte historique.
Je demande, très sincèrement, que le lecteur, homme et femme, reçoive dans sa vie, par la lecture répétée et contemplative de ce texte, la Présence Lumineuse de Celui qui est Le Vivant, et accède à la Victoire des victoires, selon la promesse qui a été donnée encore et encore par ceux et celles qui l’ont déjà atteinte.
Marc Saint Hilaire
_____________
Note : Le texte du document trouvé commence dès la page suivante. La division en trois parties a été faite pour clarifier la lecture. Quelques notes, avec renvois en fin de chapitres, ont été insérées à des fins de clarifications. Les mots entre crochets ont été ajoutés pour faciliter la lecture. Cette traduction française n'est pas du domaine public.
PREMIÈRE PARTIE DU DOCUMENT
PRÉAMBULE
PAR LE DÉCOUVREUR DU MANUSCRIT
* * *
En me promenant à l’extérieur du camp, je dus m’éloigner plus que prévu, car, maintenant, je me trouvai seul avec rien d’autre que le paysage désert des collines de Judée autour de moi. Sur ma gauche, seul l’éclat plombé de la Mer Morte, à la base des montagnes de Moab, soulageait un peu le regard dans ce monde de désolation morne et gris. J’étais sur le point de rentrer au camp, lorsque, à environ vingt mètres, j’aperçus des cendres et des restes indiquant que les nomades avaient récemment planté leur tente ici. Je fus naturellement poussé à avancer de quelques pas, même si les cendres et les restes ne devaient être que la seule récompense de ma curiosité.
« Et c’est ce qui faillit se produire. Car, après quelques minutes d’une infructueuse inspection, alors que j’étais sur le point de faire demi-tour, mon attention fut soudain attirée par ce que je pris pour une formation rocheuse originale: une barre de pierre de quelque vingt centimètres de long, et de près de dix centimètres de circonférence. De nombreux siècles d’érosion, commençai-je à me dire, ont dû être nécessaires pour lui donner ce fini lisse et cette forme droite. Je me rappelais, alors, qu’ici, sur cette colline que la mer n’avait pas atteinte pendant des millions d’années, une telle érosion aurait été impossible. Pour posséder une telle régularité de forme, ce ne pouvait être là que l’œuvre d’une main humaine.
« En descendant la petite pente - l’objet se trouvait un peu plus bas - je vis qu’il ne s’agissait pas d’une pierre, mais d’un cylindre de plomb. Il se trouvait coincé dans la fissure du rocher, et il avait dû tomber là accidentellement, ou, alors, quelqu’un l’avait déposé à cet endroit parce que l’objet était devenu encombrant pour lui. Je regardai attentivement autour de moi pour voir si je n’étais pas victime d’un piège, puis je le délogeai, non sans effort. Je me rendis compte qu’il était suffisamment léger et petit pour entrer dans une grande poche. Ensuite, je retournai au camp.
« N’ayant pas la possibilité d’ouvrir le cylindre sur le champ, je ne pouvais qu’en imaginer le contenu. Au camp, tous mes gestes étaient surveillés par le drogman (1) et ses serviteurs. Si on m’avait vu ouvrir un cylindre, de toute évidence, ancien, et non sans valeur en soi, même s’il était vide, j’aurais été suspect. Cette chose pouvait bien être quelque objet de vénération, perdu et connu de plusieurs tribus dont les relations demeurent toujours mystérieuses vues de l’extérieur. Je ne courus absolument aucun risque. Le cylindre ne me quitta pas jusqu’à ce que je me retrouve dans la tranquillité d’une chambre d’hôtel, à Damas.
«