"j'ai plus de plaisir à comprendre les humains, qu'à les juger" -Stefan zweig
"Un individualiste comme souvent le sont les altruistes. C'est plus tard, de trop aimer les hommes, qu'on devient misanthrope."-Patrick Deville"
"Je suis misanthrope, et je hais le genre humain.Quant à toi, je voudrais que tu fusses chien pour pouvoir t’aimer un peu." -William Shakespeare
"l'enfant n'est pas méchant à l'homme, il est méchant aux animaux. L'homme, en vieillissant, devient misanthrope et charitable à la nature" -Les frères Goncourt
J'écris ces textes, pour se délivrer d'un mal, et du votre, en lisant un poème vous le recréez avec l'auteur, vous êtes une vision, ma perles d'angoisse, nous sommes tous, comme mes textes, il ne sont pas là pour être poésie purs qui reproduisent les grands, mais bien pour exister, pour simplement, ''être''.
Au commencement, il y avait l'univers,
Il y eut une planète, la terre,
Et il y eut sur cette planète, le chaos,
Un chaos simple, appelé homo,
Ces homos, ne connaissent point leurs origines,
Alors ils le créaient, en dieu de platine,
Qui leur renvoie leurs images, de manière trouble,
Comme un mirage qui vous laisse apparaître une blanche houle,
Tous voulaient pour lui, cette statut en alliage,
On fit en son effigie alors, des guerres de rage,
Aujourd'hui encore, les homos continuent,
Jamais cela ne s’arrêtera,
Un chaos commencé, l’arrêter reste ardu,
Mais même au milieu de ça je resterais moi.
aux yeux de brique, des reflets aux nuages
les rêves verts de l'or noir,
des ses mains blanche, casse la pierre
brise les cœurs et les vies.
Plus. Rien.
Du plus fin dessin
du plus grand bâtiment
Détruit.
Des grandes âmes
autour des grands banquets
Disparaît.
Apparaît les crises, le foie, la foi, la femme.
Et joue, et recommence.
Et l'enfant construit aux yeux, des bâtiments,
pose des briques, grise les rêves,
verdit les nuages.
Brille, disparaît, fuit, souriez.
Jolie, belle, petite fille, naturel.
Croît à travers les vitres, les miroirs, l'inconnu,
les Reflets, et les ombres communes.
Donne à l'homme ses dents aiguisés,
donne à l'enfant son ballon et son sac,
donne aux fantôme ton passé,
donne au poètes ton futur, et tac !
Te voilà !
Seule, encore.
Cœur de vapeur, et vie au milieu des légumes.
Cuit, cru, qu'importe, ils pourriront,
et les légumes, les regarderont pourrir.
Pendant que ton éternel jeunesse fasse ses fruit.
Va jouer !