Accusé de réception de « Pratiques managériales républicaines »
par la Présidence de la République le 21 aout 2018
Accusé de réception de “ À l’action républicaine, citoyens !“
par la Présidence de la République le 11 avril 2019
Président de la République, “engagez le fer“ contre
l’endettement public au seul profit de la classe publique !
Le 21 aout 2018, le chef de cabinet du président de la république a accusé réception d’un appel à l’action nationale des cadres dirigeants de l’État (3) mais le président n’a pas pris connaissance des préconisations pour une action publique au service du progrès social et de l’impérieuse nécessité de réduire l’endettement public pour rétablir la compétitivité nationale et lutter contre le chômage. S’il avait lu et pris au sérieux l’alerte des cadres sur la fracture sociale creusée entre les privilégiés de la nation, élus ou fonctionnaires, et les Français trahis par ses élites publiques, il aurait demandé aux ministres concernés de tenir compte des conseils managériaux pour remettre au travail le plus grand nombre de chômeurs et de demandeurs d’emploi et n’aurait pas été surpris à la fin de l’automne par la révolte des gilets jaunes et l’exaspération populaire devant les comportements de responsables publics plus préoccupés par le maintien d’un statut et de privilèges acquis exorbitants que par la correction des méfaits sociaux des politiques de régression économique.
“À l’action républicaine, citoyens !“ est une contribution au grand débat national conseillant aux candidats à un mandat électoral de répondre aux attentes de citoyens trahis par des politiciens menteurs, des ministres irresponsables et des cadres de l’État indifférents à la dégradation continue de performance économique de la fonction publique depuis le passage à l’euro. Elle décrit les méfaits économiques des pratiques gouvernementales de déficit budgétaire à hauteur de l’inflation et financement des politiques sociales par l’endettement public.
Elle évalue la masse salariale de l’état destructrice de valeur pour la nation en doublant l’endettement public annuel qui asphyxie les économies régionales, dégrade la compétitivité nationale et provoque un chômage de masse. Elle rappelle la responsabilité du Chef de l’État à rendre compte aux citoyens des méfaits économiques du surendettement public et les devoirs des dirigeants publics et des hauts fonctionnaires à dire la vérité aux fonctionnaires et aux agents de collectivité territoriale sur la dégradation de performance économique publique à corriger pour rétablir la compétitivité nationale et relancer les économies régionales.
Elle a été transmise le 11 avril 2019 aux présidences de la république et du sénat et aux rédactions des journaux de la presse économique nationale pour dénoncer les fautes nationales de gestion des fonds publics de dirigeants de l’État et de hauts fonctionnaires refusant d’imposer aux fonctionnaires les efforts professionnels et sacrifices sociaux fixés aux salariés pour pérenniser ou développer l’entreprise. Le Président a fait remercier l’auteur pour la rédaction “d’un essai jugé utile à l’heure ou le pays traverse de nombreux défis“ en résumant les attentes des salariés et les conseils des cadres pour réduire le chômage et corriger les méfaits sociaux des politiques de régression économique. En supprimant l’ENA et les enseignements périmés des élites publiques, le Président admet l’incompétence des conseillers à la Cour des comptes chargés d’évaluer les politiques publiques ayant fermé les yeux sur les détournements d’emprunt public au profit de la classe publique et détriment de la majorité laborieuse après la crise financière de 2008. Mais il ne rend pas compte des dérives publiques de gestion permanentes depuis le passage à l’euro, il ne demande pas aux ministres concernés de corriger un programme quinquennal d’endettement public continu et il n’oblige pas les hauts fonctionnaires à améliorer la performance économique de la fonction publique pour financer les politiques sociales.
Dans une république en marche vers la faillite, Il préserve un statut public du cadre inadapté à la résolution des problèmes économiques de la nation et maintient un devoir public de réserve pour occulter les fautes publiques de gestion. Il propose d’aligner les droits à retraite des fonctionnaires et des salariés, mais refuse d’aligner les devoirs économiques des cadres de l’État et des cadres de grande entreprise pour restaurer la contribution publique à la compétitivité nationale.
Les directeurs des rédactions de la presse économique ont refusé de publier la critique managériale des politiques de surendettement public indépendante de toute revendication patronale ou syndicale. Noyée dans les conclusions du grand débat national, la contribution des cadres est ignorée de ministres irresponsables déployant un programme quinquennal de surendettement public qui brise la cohésion républicaine au travail des acteurs économiques et aggrave le chômage et la fracture sociale.
“À l’action républicaine, fonctionnaires !“