Édition : BoD – Books on Demand GmbH
12/14 rond-point des Champs-Élysées, 75008 Paris
Impression : Books on Demand GmbH, Norderstedt, Allemagne
ISBN : 978-2-3222-6245-8
Dépôt légal : Novembre 2019
Ecrire ce livre fut d’abord une décision personnelle de plonger dans le tréfonds de moi-même, comme l’aurait realisé un directeur de conscience.
La rédaction est en langue française, idiome du conquérant, de l`occupant qui me fut imposé étant donné que la Corse, ma patrie était occupée, après avoir été vaincue, et, malheureusement continue à l’être. Mais mes sentiments patriotiques sont purement Corses.
J’ai toujours été passionné d’histoire.
Et de nos jours, je suis profondément écoeuré, d’entendre, très souvent á la télévision française et allemande, et de lire dans la presse, tant de contrevérité sur cette période tragique (1940 – 1945). En 1943, j’avais six ans.
Je m’adresse mantenant aux chers et futurs lecteurs.
Avez-vous vu les images dans un film documentaire, des voyages effectués par le maréchal Philippe Pétain1, à Toulouse, Nancy, par exemples, et cela quelques jours avant le débarquement Alliés en Normandie, le 6 juin 1944. Le chef de l’Etat fut partout par la foule en liesse chaleureusement acclamé aux cris de : « Vive le Maréchal ! Maréchal nous voilà ».
En Corse, la majorité de la population était pétainiste. Au Niolu, et plus particulièrement, à Casamaccioli tous étaient Sabianistes2.
Néanmoins, à Calacuccia même, il faut le reconaître il y avait un groupuscule de résistants sous les ordres de Raymond Lenziani3, membre du Front National (Résistance), qui reçevait des armes, des équipements, du ravitaillement, parachutés par la Royal Airforce (R. A. F. ), et était chargé d’effectuer leur stockage dans des grottes.
Ces patriotes avaient essentiellement pour mission de soutenir le futur débarquement des forces de libération.
Selon les directives reçues leur combat sera surtout celui du partisan, lequel devait agir par embuscade, coups de main, et rejetait toute idée de « bataille rangée ».
Le programme du Front National Corse de libération de la France, déclinait quatre objectifs majeurs :
Le premier but devenait caduc, car les italiens avaient capitulés et les allemands quittaient volontairement l’île.
Le troisíème, châtier les traîtres, n’a pas donné un résultat entièrement positif.
Ce qui manque dans ce programme, c’est l’arrestation et la condamnation des criminels de guerre italiens, du général Giovanni Magli5 et de ses sbires, membre de l’OVRA6, des chemises noires, des carabiniers. (Voir chapitres particuliers).
Pétru-Mattéu se penche, aujourd’hui dans son troisième ouvrage7 sur un passé de la France, très délicat, épineux même.
Bien sûr, cela ne fera pas plaisir à beaucoup de monde, à quelques dizaines encore en vie, membres d’organisations d’anciens « résistants », de la première et surtout de la dernière heure.
J’ai toujours été poussé par un esprit profond de vérité.
Je veux, enfin, faire comprendre à mes compatriotes qu’il n’y a pas eu de libération.
Effectivement, il y a eu des combats, des pertes humaines, de gros dégâts matériels, mais, ces victimes étaient, au fond, des candidats au suicide.
Combattre avec une arme légère, individuelle – « mitraillette » Sten8, fusil de chasse, contre des blindés de plus de 30 tonnes (chars Tiger9), c’était aller à une mort certaine.
S’il y a eu « Résistance », celle-ci était principalement passive et non active, comme par exemples dans les Balkans ou en Grèce.
Les photos publiées dans certains ouvrages dits « historiques » (général Gambiez10, Paul Silvani), out été prises après la guerre en 1947, plus particulièrement, lors du tournage du film le « Casabianca ».
Ainsi, l’histoire est complètement falsifiée.
Mon livre est un ouvrage documentaire, il n’y a pas de personnages imaginaires. (Je cite les vrais prénoms et les vrais noms de famille).
Aujourd’hui, en 2019 76 ans après la prétendue « Libération de la Corse », uniquement une minorité de témoins oculaires vit encore. Celle-la peut en toute objectivité raconter les tristes et évitables événements des années 1942 – 1943.
Mais, beaucoup d’entre eux sont devenus amnésiques, et de ce fait, ont oublié des détails qui pourtant étaient importants. D’autres malheureusement, depuis des décennies leur mémoire est remplie de contrevérités.
Ainsi, pour certains historiens amateurs cette situation est favorable et primordiale.
Les membres de l’OVRA, des chemises noires, des carabiniers, auteurs de crimes de guerre ont de nos jours complètement disparus. Ils sont morts dans leur lit, après avoir reçus l’extrême onction.
Aujourd’hui, en France métropolitaine et surtout en Corse, quel est le membre de la nouvelle génération qui n’a pas eu un ancêtre « résistant ».
Où sont restés, les Pétainistes, les adeptes de Simon Sabiani et de Pierre Constantini11.
L’histoire de la « Libération » de la Corse, en septembre et octobre 1943, est un mensonge pur, simple et intentionnel.
Jusqu’ à ce jour, les historiens à la solde des différents gouvernements français ne cessent de publier des livres prétendus historiques, où la littérature joue un rôle primordial et ont fabriqué des histoires extravagantes, des contes de fée, comme ceux que l’on trouve, par exemple dans la Bible.
Tandis que d’autres auteurs, une minorité, après de minutieuses recherches dans les archives, les ouvrages, relatent leurs narrations objectivement en donnant une image exacte du passé.
En ce qui me concerne, je laisse toujours la mémoire s’exprimer.
J’ai donc, conscient renoncé à la spendeur de la littérature, pour être critique et méthodique.
Je n’ai point effectué de faux, pour ce qui est de la vérité historique.
En fin de compte, je n’ai jamais cherché à atteindre un but politique.
Dèjà, jadis, Gaicis, Jules César12, dans ses écrits, lesquels sont uniquement que du matériel brut. Malheureusement, par la suite, ils ont été interprété comme une partie d’une histoire universelle.
Jules César, a souvent falsifié des faits historiques, à son avantage.
Depuis 1943, des milliers de tonnes de papier et des centaines de kilomètres de films ont été utilisés, pour montrer aux générations futures la bravoure des « résistants », en métropole et en Corse.
Et cela, jusqu’à nos jours (2019).
Il s’agit d’un bourrage de crâne, monstrueux, sans fin.
Dans la plupart des cas, ces réalisations cachent la vérité, pour oublier les crimes contre l’humanité, commis par les italiens, durant l’occupation de l’île (du 11 novembre 1942 au 8 septembre 1943).
Personnellement, je n’ai point peur de dire la vérité. Je ne suis plus le petit enfant qui craignait l’eau bénite.
Oui, j’aime la vérité et je ne pense pas que la vérité, sincère, bien proférée puisse blesser qui que ce soit.
Il ne faut pas oublier de déclarer que l’histoire a toujours été écrite en relation étroite, avec les gouvernants.
Par exemple : « l’histoire de l’Etat », par Prokop13.
Dans un tel écrit, la mémoire peut, parfois, faire défaut, et je serais reconnaissant si un lecteur, signale mes erreurs.
Bien sûr, il n’est pas aisé, d’écrire un livre sur la guerre.
Mais les faussaires en histoire, cherchent dans l’espoir que le temps travail pour eux, et que la mémoire humaine est devenue assombrie, pour présenter surtout aux personnes simples d’esprit, la prétendue libération de la Corse, comme un grand événement, d’une importance capitale.
Cela n’est que pure exagération. Pour moi il s’agit d’une désinformation flagrante de faits véritables.
En URSS, la participation à la victoire de Joseph Staline14, fut après la guerre considérablement exagérée. Les mensonges sont toujours présents et puissants, mais point éternels.
A la fin sûrement la vérité vaincra.
Malheureusement, certains qui possèdent un pouvoir quelconque, mais pas de morale et encore moins des connaissances élémentaires pensent souvent transformer la signification exacte de certains mots ou expressions.
Cette prétendue libération fut méthodiquement organisée.
En 1943, au mois de Septembre les Français arrivèrent en Corse les premiers.
Et pourquoi ?
Tout simplement, ils ne voulaient en aucun cas perdre l’île, qu’ils avaient achetés et conquis en 1769.15
Oui ! Acheté ! Comme on achetait, naguère et jadis un troupeau de moutons à la « Santa di Niolu », à Casamaccioli, mon village natal.
Mais cette fois-là, ils étaient suivis par leurs « Alliés », les Britanniques et les Américains.
Ces derniers avaient en réalité le pouvoir réel. (Voir les conséquences dans les chapitres qui suivent).
Mes écrits détaillés rapportent tout d’abord, les causes de la Seconde Guerre mondiale. Par le suite l’occupation italienne, et le passage très court des troupes allemandes. Enfin, la capitulation italienne, l’occupation française et Alliés.
Etant donné que les Italiens avaient déposés les armes, le 8 septembre 1943, et que les Allemands quittaient définitivement la Corse, logiquement et objectivement, il n’y a pas eu de « libération ».
A maintes reprises, j’ai consulté les Archives nationales au château de Vincennes.
Il y a dans ces documents officiels, concernant l’année 1943, plus particulièrement, du futile, et ce qui est grave, parfois des mensonges.
Je rapporte aussi, le témoignage indiscutable de témoins oculaires, par exemple celui du chirurgien Charles Zuccarelli, le père de mon camarade de lycée, Philippe, et de nombreuses autres personnes.
Enfin, je dirai à mes futurs lecteurs, que les Allemands pendant leur court passage en Corse, non point comme les vainqueurs de Ponte Novu, brûlés nos villages, massacrés les habitants, violés nos mères et soeurs, mit à feu et à sang l’île entière.16
Anatole France17 a déclaré : « des descriptions d’évènements historiques sans des mensonges sont extrêmes fastidieux ».
Et Kant18 a bien dit : « nous ne savons plus ce qu’est la vérité. »
Déjà en Egypte jadis, jusqu’à l’oeuvre de Justinien19, l’histoire était écrite par Jean Malalas20, un moine syrien, du 6e siècle.
L’intérêt au passé, n’enveloppe pas la totalité du passé, mais uniquement ce que le présent demande.
J’espère que le lecteur me comprendra bien, car je me suis personnellement concentré sur les événements.
Je devais me documenté avec précision. Heureusement, je maîtrise parfaitement la langue allemande, cela a facilité beaucoup ma tâche pour la traduction de documents, par exemples, le journal de marche de l’OKW21, le rapport du commandant de la brigade SS22.
En définitive, je citerais un exemple frappant : les propos du général russe Tchouïkov23, au général allemand Hans Krebs24, lors de la bataille de Berlin, fin avril 1945, « nous sommes venus ici pour libérer les Allemands du faschisme. »
Pour ce qui est du mot « Libération », dans l’ex RDA (République démocratique allemande), jusqu’à la chute du mur, l’Allemagne nazie avait été « libérée » par l’Armée rouge».
Est-ce-que le peuple allemand avait demandé cette « délivrance ». Laquelle a été suivie d’une occupation et d’un pillage en règle.
1 Henri Philippe Benoni Omer Joseph Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour. Pas de Calais. Décédé le 23 juillet 1951 en Port-Joinville, Ile d’Yeu. Militaire français, diplomate et politicien. Vainqueur de Verdun, pendant la Première Guerre mondiale. Maréchal de France et Inspecteur Général de l’Armée. Après la capitulation française, de 1940 à 1944, il devient chef de l’Etat et collabore avec l’occupant allemand. En 1945, il fut condamné a mort. Cependant, la peine capitale fut commuée en prison à vie.
2 Sabianiste = partisan de Simon Pierre Sabiani, lequel était né le 14 mai 1888 à Casamaccioli (Niolu-Corse), décédé le 29 septembre 1956, à Barcelone (Espagne). Politicien français. Lieutenant de réserve, chevalier de la Légion d’honneur, croix de guerre (4 palmes et 2 étoiles). Héros de Verdun. Premier adjoint au maire de Marseille, député au Parlement, tour à tour communiste, socialiste, communiste autonome, en 1936, il rejoint les rangs du PPF (Parti populaire français) de Doriot, dont il fut un des lieutenants. Tous d’eux, collaborent avec l’occupant. Réfugié en Argentine et en Espagne, il fut par les cours de justice de Paris et Lyon condamné à mort. Aujourd’hui, il est inhumé dans le tombeau familial, à Casamaccioli, son village natale. Simon Sabiani avait en viager une propriété au bord de la Durance dans les Basses-Alpes (actuellement Alpes de Haute-Provence). Comme voisin il avait la famille Dominici, propriétaire de la ferme de « la grande Terre » (Affaire criminelle de Lurs, en 1952). Après la fuite de Simon et de sa famille, le 17 août 1944, pour l’Allemagne, Sigmaringen, la maison d’habitation et les dépendances ètaient pilliées et encendiées, ses lapins, poules, chevaux et son troupeau de chêvres volés, par les « maquisards », communistes et les membres de la famille Dominici. En 1952, Gaston, le patriarche possédait encore les bestiaux. Le gardien des lieux, un cousin à mon père, Charles Geronimi, berger de profession, originaire de Casamaccioli, était abattu d’une rafale de « mitraillette » Sten comme un chien et son cadavre nu, criblé de balles était pendu à un arbre. Tèmoignage de M. Jean-Valère Geronimi, de Casamaccioli, lequel en étant jeune homme, avec sa famille, s’était rendu souvent à la ferme de Simon.
3 Raymond Lenziani, né le 9 novembre 1906 à Bastia, décédé le 16 février 1998 à Bastia. Responsable de la Résistance et du F. N. du Niolu. De février à octobre 1943 il occupait la fonction de responsable organisation (avec le grade de capitaine FFI sous le pseudonyme « Tarzan » du canton Niolu, assisté du capitaine Alfonsi, responsable militaire. Lenziani fut chargé de superviser le fonctionnement du premier terrain de parachutage, installé au printemps 1943, au-dessus de village de Corscia. A partir du 9 décembre 1943, après avoir adhéré au Parti communiste, il fut nommé chef de service au groupement des farines à Bastia. A ne pas oublier de signaler que Lenziani était présent à Ponte Novu, a la tête de 88 hommes. Lenziani était cité à l’ordre de la division, en 1944, puis décoré de la Médaille de la Résistance française et de la Médaille de combattant volontaire, en 1947. Au début des années 1970, le Parti communiste de la Haute-Corse présentait sa candidature au siège de Conseiller général du canton de Luri (berceau de sa famille Lenziani), mais il n’était pas élu, il obtenait 188 voix. Source : Extrait des archives personnelles du fils Hubert Lenziani, professeur en histoire et géographie, à Bastia.
4 Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigée par Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du 10 juillet 1940 au 20 août 1944 durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie.
5 Giovanni Magli, né le 27 juin 1884 à Barcelona Pozzo di Gotto, décédé le 28 janvier 1969 à Bari. Général italien.
6 OVRA = Organizzazione di Vigilanza e Repressione dell’Antifascismo (Organisation de Surveillance et de Répression de l’Antifascisme). Police secrète d’Etat de l’Italie fasciste et de la République Sociale italiènne de 1943 à 1945. Crée en 1927 à Milan.
7 Premier livre : « Bandit d’honneur en uniforme ». Deuxième roman historique : « La vendetta dans la peau ».
8 Le Sten est un pistolet-mitrailleur britannique des années 1940. Arme primitive; les incidents de fonctionnement étaient nombreux, par exemple : mauvaise présentation de la cartouche dans le canon, … Plus de 10 000 « mitraillettes Sten »avaient été parachutées ou apportées par sous-marins en Corse.
9 Le Tiger I (Tigre I), diminutif de Panzerkampfwagen VI Tiger Ausführung E – Sonderkraftfahrzeug 181, char d’assaut lourd allemand, construit par la societé Henschel à Kassel en service de 1942 à 1945 est l’un des chars les plus connus de la Seconde Guerre mondiale, bien qu’il n’ait été que très peu produit par rapport au T-34 soviétique ou au Sherman américain. Généralités propres. Personnel : 5 hommes, parmi lesquels 1 radio, 1 chauffeur, 1 tireur. Longueur : 8 m 45. Largueur : 3 m 70. Hauteur : 3 m. Masse : 57 t. Blindage : 25 mm 110. Armement : 1 8 cm kwh, 2 mitrailleuses (MGS 34). Vitesse sur route : 38 km/h, sur tout terrain 20 km/h. Sur la photographie le char Tiger se dirige vers Bastia en empruntant la nationale 90.
10 Général Gambiez – Paul Silvani – Tous d’eux auteurs d’un livre sur « la libération » de la Corse.
11 Pierre Dominique Constantini, né le 16 février 1889 à Sartène (Corse), décédé le 30 juin 1986. Héros de l’aviation en 1914 – 1918. Membre de la Cagoule. Fondateur de la « Ligue française ». Mythomane, a été le seul a déclarer la guerre à la Grande-Bretagne.
12 Jules César (Imperator Caius Julius Ceasar Divus), né le 12 (ou 13) juillet 100 (ou 102) av. J. – C) à Rome, décédé le 15 mars 44 av. J. – C. à Rome. Général en Chef, grand orateur et écrivain. Conquit la Gaule. Le 15 mars 44, il fut assassiné en plein Sénat (23 blessures), par son fils adoptif Brutus, en outre.
13 Prokop, né à Caesarea (Palestine) vers 500 après Jésus Christ – mort en 559. Historien. Oeuvre principale : Histoire de l’empereur Justinian (Bella). Il a écrit huit livres.
14 Joseph Staline : (Dchugaschwili), né le 18 décembre 1878 à Gori, Géorgie, décédé le 5 mars 1953 à Moscou (Kunzewo). Politicien russe. En janvier 1912, membre du parti Bolshevik et en 1917 membre du Polit-bureau. Janvier 1924, secrétaire Général du Parti communiste. Devenu dictateur à partir de la fin de 1920, il liquide ses opposants politiques, parmi lesquels Trotzki. Durant le Seconde Guerre mondiale, comme maréchal et commandant en chef de l’Armée rouge, (depuis 1943 et 1945), il participe aux conférences de Téhéran, Jalta et Potsdam avec les Alliés.
15 La décision était prise par le Sénat de Gênes, leur prétendu « Droit », sur l’île de la Corse, librement, à céder à la France. Le ministre français Choiseul acceptait la proposition avec joie. Ansi, le traité était signé le 15 mai 1768, à Versailles par Choiseul lui-même pour la France et par Domenico Storba pour Gênes, et cela contre le Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Gênes livrait un peuple à un despote étranger, un malade mental. D’autres conditions avaient été prescrites dans ce traîté. La plus importante était la suivante : Gênes aurait le droit de posséder de nouveau l’île, lorsque elle aurait payer les frais de l’occupation française.
16 En 1773, début de la Révolte du Niolu, impitoyablement réprimée par les troupes du général Sionville, et ses supplétifs Corses. En mars 1774, un millier de Niolins soulevés par le prêtre Acquaviva, rentré de Toscane où il s’était réfugié, sont traqués par Sionville. Le 23 juin 1774, le général français fera pendre aux châtaigniers du couvent Saint-François-di-Niolu, de Calacuccia, onze bergers, la majorité originaire de Bonamanaccia, de la famille Geronimi, le plus jeune avait 17 ans, un Albertini, de Corscia. A Sidossi, une jeune femme, Marie-Françoise Luciani, nom d’amitié « chouchia », laquelle, en légitime défense, pour ne pas être violée a abattu un soldat français. Elle fut arrêtée, enchaînée et transférée à pied, à Corte, où, après un jugement arbitraire, elle fut pendue. En plus, une centaine de Niolins, furent déportés au bagne de Toulon; leurs maisons furent rasées, leurs récoltes brûlées, leur bétail volé. Léopold Prosper Philibert de Sionville, né le 15 novembre 1748 à Châlons-sur-Saône, décédé le 14 juillet 1808 à Lyon. Général de Brigade-Commandeur de la Légion d’honneur.
17 Anatole France, pour l’état civil François Anatole Thibault, né le 16 avril 1844 à Paris, décédé le 12 octobre 1924 à Saint- Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire). Ecrivain français.
18 Immanuel Kant, né le 22 avril 1724 à Königsberg, décédé le 12 février 1804 à Königsberg. Philosophe. Oeuvre principale «La critique de la raison pure (1781).
19 Justinien Ier ou Justinien le Grand, né vers 482 à Taurésium, près de Justiniana Prima en Illyrie, et mort le 15 novembre 565 à Constantinople. Empereur byzantin.
20 Jean Malalas, né vers 491 à Antakya, et mort vers 578 à Constantinople. Historien, écrivain.
21 OKW = Oberkommando der Wehrmacht. (Haut Commandement de la Wehrmacht ou Haut Commandement des Forces armées, durant le IIIe Reich).
22 SS-Sturmbrigade « Reichsführer SS ». (Voir détails dans un chapitre suivant). Cette unité était venue en Corse pour renforcer l’armée italienne, en cas d’un débarquement Alliés.
23 Vassili Ivanovitch Tchouïkov, né le 12 février 1900 à Oblast de Tula, décédé le 18 mars 1982 à Moscou. Général de l’Armée rouge.
24 Hans Krebs, né le 4 mars 1898 à Helmstedt. Général allemand, chef de l’Etat – major de l’Armée de Terre. Mort le 1 mai 1945 à Berlin (Suicide).
Cela, plus particulièrement pour le ignares, et ils sont très nombreux, surtout parmi les magistrats, les politiciens et les scientifiques.25
Quant aux journalistes ils sont devenus les moines de jadis. Pour le journaliste les contrevérites sont d’une nécessité absolue, comme l’est pour le chat la chasse aux souris. Ce sont des spécialistes de l’endormement de leurs lecteurs, la majorité payés pour mentir au peuple et l’empoisonner.
Libérer (Latin liberare, de liber, libre).
Enlever ce qui retient quelqu’un, un animal, une personne. Mettre une personne en liberté. Délivrer un pays, un peuple, de la domination ou de l’occupation ennemie.
Affranchir quelqu’un d’un état d’étroite dépendance, de sujestion.
Etre libéré : étre affranchi, de tout ce qui est supposé limiter sa liberté. Se libérer, se dégager de ce en quoi on est assujetti, de ce qui vous domine.
Libération : la période pendant laquelle les Alliés, et les patriotes insurgés, chassèrent de l’Europe occidentale, l’armée allemande.
En France, période qui s’étend du débarquement en Normandie (6 juin 1944 – 19 mars 1945).
La Corse n’a pas été libérée.
1)Les Italiens avaient capitulés; n’occupaient plus la Corse;
2)Les allemands quittaient volontairement l’île, définitivement.
25 Durant quinze ans, j’ai été membre de l’Institut de Recherches scientifiques allemand, à Berlin. Je vais citer un exemple frappant : Un professeur, physicien atomique d’origine Ecossaise, qui plus tard est devenu Directeur Général d’un grand et renommé Institut Britannique, pensait que la Corse était située non pas en Méditerranée, mais en Asie, aux Philipinnes. De plus, il n’avait jamais entendu parlé de Napoléon I. Quel déshonneur pour un sujet de sa Majesté. Napoléon I, né le 15 août 1769 à Ajaccio, décédé le 5 mai 1821 sur l’île Sainte-Hélène. Premier empereur des Français.
Après la Seconde Guerre mondiale un certain nombre de mythes d’importance inégale se sont répandus en Europe, et surtout dans les pays de la région méditerranénne, y compris la Corse où les habitants ont tendance à éxagérer.
Une partie de ces mythes relève de la propagande américaine et britannique; de nombreux autres sont les produits de l’imagination fertile de certains journalistes, et aussi d’historiens amateurs, lesquels intentionnellement profitent de l’ignorance en histoire de la majorité d’un peuple.
Parfois, aussi, ces mythes naissent d’un gouvernement-même.
Ainsi, en Corse depuis la prétendue libération, ou plutôt l’occupation, de nouveau, par la France colonialiste de l’île, une certaine légende s’est répandue. Il s’agit, plus particulièrement de la « Résistance »; laquelle a été plutôt passive.
Aujourd’hui, la plupart des historiens français à la solde d’un parti politique ou d’un régime quelconque passent sous silence, les arrestations, les tortures et les condamnations à mort, effectuées par les sbires du général italien Magli (voir détails dans chapitres suivants).
Je voudrais donc, en premier lieu, citer un très ancien mythe : le Gral.
Vers l’An 1 000, on commença à écrire la légende du roi Arthur26, de la Table ronde27, et du Gral (Le gral est un miraculeux calice, avec lequel Jésus pour la Sainte Céne avait bu, et lors de son crucifiement son sang a été recueilli).
De nouvelles valeurs sont nées. Un monde où l’homme pouvait améliorer sa vie. Mais à cette èpoque, il y avait en Europe occidentale beaucoup de sentiments négatifs, comme la jalousie.
Lancelot28 fut exclut de cette société, et enfermé dans un couvent.
Le roi Arthur, donne l’ordre à ses chevaliers de chercher le Gral (but des croisades).
Mais, où se trouvait le Gral ? C’ètait Saint-Laurent qui était chargé de conserver le Gral.
Vers 300 après J. C. saint-Laurent transporta le Gral en Espagne, d’où il ètait originaire.
Il le cacha dans une grotte, dans le massif des Pyrénées.
Les croisés, parait-il, avait, acheminé en Europe, dans un flacon des gouttes de sang de J. C.
En 1 200 après J. C. , à Montségur, 200 Cathares furent brûlés vivants. Leur trésor était, peut-être, le Gral !
Le plus ancien poème concernant le Gral est de Chrétien de Troyes.
Il parait que des Croisés, et ils étaient nombreux, d’origine Corse, plus particulièrement du Cap Corse, ont ramené le Gral à Piétra-Corbara, où il se trouverait, jusqu’à nos jours dans une chapelle située non loin de la côte.29
26 Roi Arthur : ancien chef des Gallois, aurait été tué vers 537, en combattant les Anglos-Saxons.
27 La Table ronde était un signe d’égalité pour les Chevaliers du Moyen-Âge. Autour de la Table ronde ils étaient tous égaux.
28 Lancelot : Chevalier de la Table ronde du roi Arthur.
29 Source : (en partie) Henri Martin : Histoire de France populaire. Depuis les temps plus reculés jusqu’à nos jours. Paris : Furne, Jouvet & Cie. 1867 – 1885.
Le Judaïsme est une religion, et non pas une communauté éthique. Est-ce qu’il existe un peuple juif ? Non, déclare l’historien Shlomo Sand30. Ainsi, il bouleverse la fondation de la légende d’Israël, radicalement.
L’expulsion dûe aux Romains ?
L’exodus ?
Un mythe, qui repose sur une base instable. Cependant, l’exodus joue un grand rôle pour les juifs, un rôle central.
Le pharaon avait vaincu toutes les tribus, se trouvant au Moyen-Orient, et également Israël.
Le pharaon occupait Kanaan, donc Moïse, l’esclave libéré d’Egypte se rendait en fait, d’Egypte en Egypte, et durant 40 ans, parcourait avec son peuple (600 000 hommes), le désert du Sinaï.
Un tel évènement n’a pas, jusqu’a nos jours, laissé de trace archéologique.
Quant à la sortie d’Egypte, le passage de la Mer rouge, des chercheurs de l’institut de recherches scientifiques « Max Planck », ont déclarés qu’il s’agissait sûrement d’un mirage.
En outre, l’endroit exact où est situé le mont Sinaï reste introuvable.
On doit regarder la Bible comme de la litérature fictive, qui n’a rien à voir avec la réalité, bien qu’aujourd’hui même, la société israélite considère ses écrits comme une légimitation historique.
Personnellement, je me souviens des paroles prononçées par un chercheur suisse, dont j’ai malheureusement oublié le nom, lequel avait déclaré lors d’une émision scientifique, à la télévision allemande « la Bible, c’est comme l’histoire d’Ali-Baba et les quarante voleurs, tout simplement un conte de fées, dont les auteurs restent inconnus ».31
Tout cela, ainsi que le retour, après 2 000 ans sur la terre des Ancêtres, n’est que pure invention des sionistes européens du 19e siècle.32
30 Shlomo Sand, né le 10 septembre 1946 à Linz (Autriche). Historien israélien.
31 D’après l’historien Israël Finkelstein, la Bible fut écrite sous le règne du Roi Joschija, quelques années avant la chute du royaume de Juda.
32 Source : (en partie) Shlomo Sand : Die Erfindung des Jüdischen Volkes. Israels Gründungsmythos auf dem Prüfstand. Berlin : List 2011.
Je cite le professeur Werner Heisenberg33 physicien atomique durant le 3ieme Reich (Empire allemand).
« Une course pour la construction de la bombe atomique, n’a jamais eu lieu, bien qu’un grand effort de notre côté fut nécessaire pour la réalisation d’un réacteur atomique. Avec de l’uranium naturel et de l’eau lourde, la fabrication d’une bombe atomique aurait demandée, beaucoup de techniciens, et énormément d’années de travail. »34
En été 1942, le commandement supérieur allemand avait enjoint que l’on devait pas essayer de construire une bombe atomique. Adolf Hitler35 avait ordonné par la suite l’ordre de se concentrer sur les fusées V 1 et V 236.
En plus, jamais un effort financier comme il se doit pour chaque projet d’armement, où des milliers d’hommes qualifiés devaient coopérés, n’a pas eu lieu.
Tout au contraire, également en été 1942 aux USA une résolution à été prise, c’est-à-dire, la construction de la bombe atomique (Projet Manhattan). Décision de Winston Churchill37 et de Franklin D. Roosevelt38.
Le chef de ce projet était Landshale, et Furman était chargé du service sécurité, du plan. La création de la bombe a coûté 10 milliards U. S. Dollar, plus de 100 000 personnes étaient employées dans 25 instituts, dont le plus important était à Los Alamos.
D’après le Professeur physicien atomique Philippe Frank39, Hitler a déclaré à maintes reprises qu’il possédait une arme secrète et uniquement pour des raisons humanitaires il ne l’a pas encore employé, mais en cas de nécessité absolue, il pourra détruire la moitié du globe. Chaque physicien atomique savait qu’il s’agissait de la bombe atomique. Hitler ignorait que cette arme secrète était déjà en possession des USA, et cela faute à la politique scientifique de l’Allemagne nazie.
Sous ces circonstances, la capitulation en mai 1945, était pour la nation allemande un bien. Si la guerre s’était poursuivie, la bombe atomique des USA, aurait été employée non pas contre le japon, mais contre l’Allemagne.
Professeur Molière : Durant mon séjour à l’institut, j’ai fais la connaissance du professeur Molière, un physicien atomique, d’origine Hugenot40, lequel durant la guerre, faisait partie du team d’Heisenberg. Molière me montra où était dans le hall actuel l’appareil chargé d’examiner l’accroissement de neutrons.
En outre, il me dit pourquoi un projet pour la fabrication de la bombe atomique n’a pas eu lieu.
1. Manque de scientifiques (physiciens atomiques), et de techniciens; 2. Les bombardements aériens des alliés ont empêchés la realisation d’une grande installation;
3. Les autorités allemandes n’étaient au fond, pas intéréssées à la construction d’une bombe atomique, mais plutôt à celle des fusées.
Le premier « Uranbrenner » (brûleur d’uranium), du monde était découvert par les Russes en mai 1945, à Kummersdorf (à 25 km au Sud de Berlin). Il avait été construit par le professeur Heisenberg. Le deuxième était trouvé par les Américains, à Haigerloch (Wurtemberg), suite à la trahison d’une assistante du professeur Heisenberg.
33 Werner Heisenberg, né le 5 décembre 1901 à Wurtzbourg, décédé le 1 février 1976 à Munich. Obtient le prix Nobel en 1933, pour son travail sur la « Quantenmechanik ».
34 Werner Heisenberg : Deutsche und Jüdische Physik. München, Zürich : Piper Verlag 1992, p. 158.
35 Adolf Hitler, né le 20 avril 1889 à Braunau am Inn (Autriche), mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin avec son épouse Eva Braun. Politicien National-Socialiste. En 1914, volontaire pour servir dans l’Armée allemande. 1919, avec un petit groupe d’hommes, il fonde le NSDAP (Parti national-socialiste des travailleurs allemands). Après l’échec du Putsch, à Munich, il est arrêté, et écrit le livre « Mein Kampf », avec l’aide de Rudolph Hess. Son parti devenait de plus en plus important. Le 30 janvier 1933, il fut nommé Chancelier d’Empire. Après la mort d’Hindenburg, le 24 août 1934 il devient : « Führer ». Plus tard, dictateur et commandant en Chef de l’Armée, le 4 février 1938. Le 12 mars 1938, annexion de l’Autriche, et en octobre 1938 de la même année, des Sudètes, et du protectorat Böhmen-Mähren (mars 1939). 23 août 1939 : Pacte de non-agression avec l’URSS. 1 septembre 1939, guerre contre la Pologne, la Grande-Bretagne et la France. Début de la Seconde Guerre mondiale. Eva Braun, né le 6 février 1912 à Munich, mort par suicide le 30 avril 1945 à Berlin.
36 Fusée V 2. V signifie : « Vergeltungswaffe » (arme de represailles), réponse aux bombardements Alliés sur la population civile allemande. Vitesse maximum : 5 500 km à l’heure et une hauteur de 90 km. Le 8 septembre 1944, la première fusée V 2 a été lancée sur l’Angleterre.
37 Winston Leonard Spencer-Churchill, né le 30 novembre 1874 au palais de Blenheim (Woodstock, Oxfordshire, Royaume-Uni), décédé le 24 janvier 1965 à Londres. Homme d’Etat britannique. Depuis 1911, Premier Lord de l’Amirauté (Ministre de la Marine). 1925, ministre des Finances. A partir du 10 mai 1940, chef du Gouvernement, et durant cinq ans, il combat l’Allemagne Nazie, jusqu’à la victoire finale.
38 Franklin Delano Roosevelt, né le 30 janvier 1882 à Hyde Park (Etat de New York), décédé le 12 avril 1945 à Warm Springs (Etat de Géorgie). Homme d’Etat américain, trente-deuxième président des Etats-Unis.
39 Philippe Frank, né le 20 mars 1884 à Vienne, décédé le 21 juillet 1966 à Cambridge (U. S. A. ). Physicien atomique; Philippe Frank : Einstein. Sein Leben und seine Zeit. München, Leipzig, Freiburg i. B. : List Verlag 1949.
40 Hugenot : protestant français (Calviniste). Sous Henri IV. en 1598, vivait en France environ 3,5 millions de protestants. Ils exerçaient la profession d’artisans, commerçants, scientifiques, banquiers, militaires. Révocation de l’Edit de Nantes en 1685, l’exercice de leur culte fut interdit. Alors ils s’expatrièrent en Hollande, Pfalz, Hessen, Kassel et Brandenbourg.
Il s’agit d’une pure et simple invention du service secret britannique (Secret Intelligence Service – SIS). Plus connu sous le nom MI 6 (Military Intelligence, Section 6. Directeur 1939 – 1952 Lieutenant-Colonel Stewart Menzies41). Le 6 février 1941, Erwin Rommel42, Général-lieutenant prenait le commandement de l’Afrikakorps43. Il était subordonné au Chef du « Commando Supremo », du maréchal Ettore Bastico44.
Rommel était vénéré par ses soldats, mais aussi apprécié par ses ennemis, les britanniques. Chez les Tommys, Rommel était considéré comme invincible. Les officiers britanniques l’avaient surnommé « fronçement de sourcils ». Le nom de Rommel et sa légende étaient devenus pour l’Armée britannique un danger psychologique.
Ainsi, pour détruire sa réputation, sa célébrité, le MI 6, imaginea la calomnieuse histoire du trésor.
Rommel n’était pas comme certains généraux un « Raubritter » (Chevalier pillard du Moyen Age). Je citerai, le général britannique Claude Auchinleck45 qui déclarait : « Notre ennemi Rommel n’est pas un fantôme, dôté de forces surnaturelles. Il est tout simplement énergique et capable, c’est tout. Je ne suis pas jaloux. »46 (Mais, il était sûrement !) Avec Rommel quatre choses n’éxistaient pas.
1. Pas de SD (Sicherheitsdienst=Service de Sûreté fondé en 1931 par Heinrich Himmler)47;
2. Pas de prise d’otages;
3. Pas d’éducation politique;
4. Pas de bordel (Front Bordel).
En outre, avec Rommel il n’y avait pas des Waffen-SS et encore moins de SS avec la tête de mort (Totenkopfverbände)48 le lieutenant Colonel Friedrich Wilhelm von Mellenthin49 représentait l’Abwehr de l’Amiral Wilhelm Canaris50. Il y avait aussi une compagnie de la division Brandenburg (unité spéciale de l’Abwehr), sous les ordres du lieutenant Friedrich von Koenen51.
Rommel n’était pas vénal. Il refusa l’offre d’Hitler qui lui donnait un domaine, en cadeau, en reconnaissance pour ses succès militaires.
Le 12 mai 1943 : La dernière védette rapide avec l’unité spéciale de la division « Brandenburg », sur l’ordre de l’OKW (Oberkommando der Wehrmacht), avec du matériel secret, des spécialistes pour le front de l’Est, des officiers d’état-major, quittaient la Tunisie pour la Sicile.52 En décembre 1942 avec l’accord de l’OKW. «Die Deutsch-Arabische Lehrabteilung (DAL), de Stalino rejoint Tunis, avec le but de provoquer une révolution de la population arabe contre la présence française.
Enfin, je citerais le général Siegfried Westphal53 qui déclarait, lors d’un interview à la télévision française, en 1970 « En Afrique du Nord, il n’y avait que du sable ».
Cela en réponse au « Trésor de Rommel ».
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